Melbourne, Australia’s EXTINCTEXIST comes out of the gates with their first full-length LP, Cursed Earth, which we co-produced with longtime friends RUIN NATION RECORDS from Bremen, Germany. Cursed Earth, features six tracks of pummeling, unrelenting and heavy political hardcore punk. With members of PISSCHRIST, NUCLEAR DEATH TERROR, SCHIFOSI, and ABC WEAPONS, this project is certainly aligned with the punk/d-beat offerings of their former bands, yet with a refined metallic edge and extended song lengths that give way to moody intros and dirge-ridden passages. Lyrically the album deals with the conflict between the developed and natural worlds, in the context of a bleak, unpromising future. Recorded by Jason Fuller at Goatsound in Victoria, Australia, mixed by Heng Shen Yeap, mastered by Jack Control at Enormous Door in Austin, TX., and artwork by Santiago Mazatl. Includes a beautiful full-sized lyric booklet, black vinyl, jacket, and mp3 download codes.

Reviews:

From CoreAndCo Webzine:
http://www.coreandco.fr/chroniques/extinctexist-cursed-earth-5693.html

Chemin faisant sur votre webzine préféré, je découvrit ExtinctExist, par les bons soins de mon confrère Sepulturastaman. En un mot, car je n’ai qu’une sœur.

Quelle félicité s’empara alors de tout mon être quand j’ouïs ce groupe australien formé avec des Pisschrïst, des ABC Weapons et des Nuclear Death Terror, désormais basés à Melbourne.

Les composantes de trois excellentissimes formations ne pouvaient qu’enfanter un vindicatif bambin, à n’en pas douter.

Un chambard au bellicisme certain m’accueillit ainsi tel un buisson de barbelés un poilu dans une tranchée. Je mouillais alors mes chausses, mu par une irrépressible envie de fendre la vitre d’un dispensaire pour angelots à coup de marteau, à l’instar d’un ignorant en blanc pris pour un activiste en noir.

Je me ressaisis bien vite, tenaillé par ma morale naturelle, pour simplement me pâmer devant cette démonstration de… D-Crust.

La meule quoi !

A fond, en mode défonce de manche, ExtinctExist sait ce qu’est de tenir un banjo distordu. Accordés forcément très bas, les gratteux moulinent, n’hésitant pas à poser des leads sinistres et classiques comme on les attend. La rythmique, mon gars, ne décrampe que rarement du D-Beat profanateur de portugaises. Pourtant parfois ça sonne Metal lourd et graisseux quand les Apaches se sentent Rome antique. Et mec, c’est Jack Control (Severed Head Of State) au mastering, le son démonte  donc.

Les Australiens pondent des textes principalement centrés sur la défense de Mère Nature. Celle bousillée par l’abrutie de race humaine. Sûrement qu’elle s’en cogne au final et qu’elle nous réserve bientôt un chien de sa chienne. Mais fuck ça soulage. De gueuler, comme un ado pustuleux et sentant des pieds.

In fine, mes chers lecteurs, je ne peux que vous préconiser de considérer avec une bienveillance démesurée cet œuvre née sous le signe de la plus grande ire.